Beaucoup retiennent leur souffle à chaque passage de la mission d’évaluation du Fonds monétaire international, FMI. Elle est conduite par Charalambos Tsangarides qui, à défaut d’une loi de finances votée par les députés et les sénateurs, a été contraint de mesurer ses propos. Il n’a pas trop insisté sur les interventions de l’État dans plusieurs domaines devant relever de la compétence du secteur privé. Il a effleuré les sujets sensibles comme les réformes structurelles à opérer au sein de la Jirama, en rappelant le caractère insidieux des subventions. De l’argent jeté par les fenêtres au regard des comptes d’exploitation de la Jirama, avec un déficit abyssal. Il a aussi évoqué le « choc pétrolier » autour des prix du carburant, toujours en stand-by. L’expert chevronné du FMI n’a pas osé remettre l’État à sa place. Car, vis-à-vis de la loi sur la privatisation des activités des hydrocarbures, il devait se contenter de réguler le marché pétrolier à travers l’Office malgache des hydrocarbures, OMH. Des entorses aux principes fondamentaux du marché libéral, mais aucune critique de la part de Charalambos Tsangarides. L’obligation de réserve lui a coupé la langue.
Ils ont marqué la semaine
Tianarivelo Razafimahefa – Lucide
06/03/2020
Vonjy Andriamanga – Sous tension
06/03/2020
300
06/03/2020
Charalambos Tsangarides : Moins tranchant
29/11/2019
Mialy Rajoelina : L’atout charme
29/11/2019
Ndriana Razanamasy : Au nom du père
22/11/2019
Faniry Ernaivo : En chute libre
16/11/2019
Lantosoa Rakotomalala : Prévenante
16/11/2019
Christian Ntsay : Nonchalant
08/11/2019
Naina Andriantsitohaina : Promesses tenues
08/11/2019
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