Elle a pu atténuer la tension persistante dans les campus universitaires. Et y ramener un calme précaire. Comme au lendemain d’un accord de cessez-le-feu fragile entre les protagonistes d’une guerre Par un dialogue constructif avec les membres inconscients du Syndicat des enseignants-chercheurs de l’enseignement supérieur, le tristement célèbre SECES, prenant en otages chaque année des étudiants, tout aussi vindicatifs. Pour cette performance qu’on peut qualifier d’inouïe, Elia Béatrice Assoumacou, ministre de tutelle de ces « turbulents sujets » mérite déjà un tableau d’honneur. Elle a sauvé de nouvelles perturbations de l’année académique au détriment des « éternels étudiants ». Mais elle ne doit pas dormir sur ses lauriers car des sautes d’humeur peuvent tout gâcher.
Ils ont marqué la semaine
Tianarivelo Razafimahefa – Lucide
06/03/2020
Vonjy Andriamanga – Sous tension
06/03/2020
300
06/03/2020
Charalambos Tsangarides : Moins tranchant
29/11/2019
Mialy Rajoelina : L’atout charme
29/11/2019
Ndriana Razanamasy : Au nom du père
22/11/2019
Faniry Ernaivo : En chute libre
16/11/2019
Lantosoa Rakotomalala : Prévenante
16/11/2019
Christian Ntsay : Nonchalant
08/11/2019
Naina Andriantsitohaina : Promesses tenues
08/11/2019
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